M. le Ministre, M. le Directeur des ressources humaines, Mme la secrétaire générale,
Cette déclaration aurait pu avoir pour objet de commenter vos premières annonces relatives aux difficultés (euphémisme) des directeurs d’écoles mais puisqu’apparemment les vraies réponses sont remises à plus tard, disons seulement ceci : On ne s’arrêtera même pas sur la pitoyable aumône que constitue une journée de décharge en guise de cadeau de Noël, ensuite on fera remarquer qu’il est navrant de solliciter encore les directeurs déjà épuisés pour participer à de nouvelles réunions interminables qui auront pour seul effet de retarder pendant de longs mois l’arrivée d’éventuelles solutions… Non, la seule timide lueur d’espoir réside dans l’existence du mot « moratoire » qui laisse à penser que pour la première fois notre hiérarchie aurait pris conscience que la vraie solution n’est pas de rajouter du temps mais d’alléger les tâches ! Comme quoi, ces enquêtes n’étaient pas si importantes finalement, c’est bon à savoir… Affaire à suivre donc